Si j'en parle ici, c'est que la politique au sujet des mesures de santé est très proche de celle de nos cousins européens et ce dilemme nous concerne aussi au Québec.
Devrions-nous accepter de faire vacciner nos enfants contre le papillomavirus (HPV)?
Actuellement en France, un rapport publié par le Haut Conseil de Santé Publique préconise l'introduction en masse de la vaccination contre le papillomavirus (HPV) dans les écoles, soi-disant pour lutter contre le cancer du col de l'utérus et d'autres infections sexuellement transmissibles.
Le rapport préconise entre autres d'abaisser à 9 ans l'âge de la vaccination, autant chez les garçons que chez les filles.
Le Pr Henri Joyeux, cancérologue et chirurgien, met en garde contre une telle action unilatérale qui pourrait mener à beaucoup plus de complications qu'à une réelle incidence sur le cancer en question. En effet, le vaccin impliqué comporte de graves risques d'effets secondaires très sérieux et potentiellement invalidants, voire mortels.
Selon le professeur Joyeux, cette recommandation par l'agence de santé française ne peut-être que le résultat du lobbying des compagnies pharmaceutiques qui cherchent à augmenter leur clientèle et leur profit par un habile stratagème par la bande et grâce à ce rapport faussement scientifique. Le vaccin ne protègerait pas à 100%, loin de là, mais il présenterait de graves risques d'effets secondaires.
« Ils vous cachent que ces vaccins ne protègent pas du tout à 100 % contre le cancer du col de l’utérus. La protection est à peine de 70 % !
Cela veut dire qu’une personne vaccinée a toujours 30 % de risque d’attraper le cancer du col de l’utérus. Prendriez-vous un avion qui aurait 30 % de risque de tomber ?
Moi pas.»[1]
Mais voilà, cette recommandation une fois approuvée, pourrait propulser les ventes des deux principaux vaccins anti-papillomavirus, GARDASIL(R) ET CERVARIX(R), à des sommets jamais atteints par les multinationales.
Le problème est que ces vaccins comportent des risques d'effets secondaires graves pour la santé humaine, mais sans apporter pour autant une réelle protection contre les troubles qu'ils prétendent limiter.
Selon le Professeur Guy Vallancien, urologue, chef de service à l’Institut Montsouris, membre de l’Académie Nationale de Médecine, plus de 26 000 effets secondaires graves dont 133 cas de sclérose en plaques (SEP) ont été répertoriés par la pharmacovigilence internationale. En france, ce sont 435 cas d'effets indésirables graves dont 135 cas de maladies auto-immunes (asthme, allergies, etc.) et 15 cas de sclérose en plaques.[2]
En conséquence, de jeunes filles sont aujourd'hui invalides à vie pour avoir été vaccinées au Gardasil inutilement.
En Autriche, suite au décès d’une jeune femme vaccinée au Gardasil, une enquête a mené à la publication d'un rapport démontrant que l’efficacité à long terme d’une telle vaccination serait au mieux « négligeable ». La ministre autrichienne de la Santé, le Dr Andrea Kdolsky, a décidé de retirer les vaccins anti-HPV du programme officiel, de ne plus rembourser les frais et de mettre l’accent sur le dépistage physiologique.
L’Agence Européenne du Médicament (EMEA) a aussi confirmé le décès de plusieurs femmes préalablement vaccinées par le Gardasil.
De plus, comme la transmission de ce virus se fait par voie sexuelle essentiellement, elle ne concerne donc pas les petites filles ni les petits garçons qui ne sont nullement des populations à risque. C'est donc leur servir une médecine de cheval couteuse et potentiellement nuisible.
Il est plus qu'imprudent de vouloir vacciner systématiquement les jeunes élèves, surtout que les preuves de protection sont encore incertaines ! Ces jeunes seraient donc au mieux des cobayes et au pire des potentielles victimes de maladies induites par le vaccin.
Même aux États-Unis, en 2007, les médias mettaient en garde contre des effets indésirables et de graves complications suite à la vaccination au Gardasil en montrant des photos de jeunes femmes victimes ou décédées.
On ne connaît pas l'efficacité ni la dangerosité à moyen et à long terme de ce vaccin, selon le Dr Jean-Paul Hamon.[3]
C'est ainsi que le vaccin n'est maintenant plus recommandé au Japon.
Une jeune française, Océane Bourguignon et d'autres jeunes filles ont même déposé une plainte contre Sanofi, le fabricant du vaccin. Elles auraient subi de très graves atteintes au cerveau et à la moelle épinière après avoir reçu le vaccin.
"Le Gardasil® contient 225 IJg d'aluminium, ainsi que du polysorbate 80 qui rend les souris stériles et qui est soupçonné d'être carcinogène et mutagène, et du borate de soude, qui n'est plus utilisé dans les préparations médicinales car il est considéré comme un poison. Il est intéressant de noter que des jeunes filles vaccinées avec le Gardasil® ont manifesté des symptômes similaires à ceux qui apparaissent en cas d'empoisonnement au borate de soude." - Sylvie Simon, auteure de Vaccins mensonges et propagande, 2009
(Écoutez la video pour mieux comnprendre comment BIG PHARMA nous cache des informations, et corrompent les politiciens pour mieux vendre leurs produits sans jamais nous guérir ou nous protéger contre les maladies)
Des risques accrus de cancer chez les personnes déjà infectées
Deux études qui ont évalué l’impact du vaccin chez des personnes déjà infectées avant la vaccination, ont montré une hausse du nombre de lésions cervicales précancéreuses malignes dans le groupe Gardasil® par rapport au groupe placebo.
Même si la différence n’était pas importante, cela démontre néanmoins que le vaccin ne sert pas à grand-chose si on est déjà infecté.
Même l'agence de santé française a déjà statué au sujet du Gardasil :
« L’efficacité de la vaccination HPV sur l’incidence des lésions cancéreuses de la sphère génitale ne pourra être démontrée qu’avec un recul de plusieurs années du fait du délai d’évolution de ces pathologies. » [4]
Ni le vaccin Gardasil ni son concurrent, le Cervarix, n’ont encore démontré leur efficacité pour prévenir le cancer du col de l’utérus, selon Abby Lippman, épidémiologiste de l’Université McGill.
Selon ce spécialiste de la santé féminine, « on ne sait pas encore si le vaccin permettra de réduire le nombre de cas de cancer ».
Une autre médecin chercheuse à l’Université canadienne de la Colombie britannique et qui travaille sur les effets toxiques des adjuvants dans les vaccins, Lucija Tomljenovic affirme :
« Le vaccin n’est pas plus efficace que les autres méthodes de prévention et de plus il est porteur de risques. »
Ainsi, doit-on imposer à nos enfants de devenir des cobayes pour une expérience qui va ne rapporter au final qu'aux multinationales du médicament?
La meilleure solution: la bonne vieille méthode par frottis.
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, la meilleure méthode pour détecter le cancer du col de l'utérus est encore le simple frottis médical.
Par contre, la fausse impression d'immunisation contre le cancer que le vaccin apporterait est porteuse d'un RISQUE ACCRU DE CANCER puisque les personnes ne se feraient plus évaluer ou négligeraient de faire le test de dépistage. Un cancer pourrait ainsi se développer de façon insidieuse jusqu'à un stade plus avancé.
La vaccination peut induire des problèmes, certes, mais vacciner massivement les jeunes enfants risque de faire reculer la pratique du test par frottis qui a déjà sauvé de centaines de vies et prouvé son efficacité. Il y a un risque certain que des femmes se disent « je suis vaccinée, donc, je suis protégée », ce qui est scientifiquement non fondé.
Ne nous laissons pas berner pas les campagnes de peur des compagnies pharmaceutiques qui tenteront de promouvoir et d'imposer malgré l'absence de preuves concrètes, leurs produits hautement lucratifs.
Ne laissons pas aux compagnies pharmaceutiques le pouvoir de décider ce qui est valable pour nos enfants. De réelles études à long terme sont nécessaires pour pouvoir évaluer efficacement les bienfaits ou les conséquences de ces vaccins sur la santé de nos jeunes, mais jusqu'à présent les conclusions vont plutôt dans le sens contraire.
C'est à nous de jouer. Ne soutenons pas ces efforts destinés à nous imposer des mesures potentiellement délétères et invalidantes au profit de multinationales sans scrupules.
Est-ce que la vie de nos enfants vaut moins que les profits de multinationales?
1)http://lesbrindherbes.org/2014/09/27/dire-vaccination-obligatoire-petites-filles-garcons-en-milieu-scolaire-9-ans-merci/
2) http://sante2020.blog.lemonde.fr/2014/04/01/gardasil-nous-revoila/
3) http://lci.tf1.fr/science/sante/papillomavirus-un-vaccin-des-neuf-ans-a-l-ecole-pour-les-jeunes-8485665.html
4) http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1710328/fr/rappel-dinformation-sur-la-vaccination-contre-les-papillomavirus-humains-par-le-gardasil