"Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leur âme" - Machiavel
De propagande et de peur
« Des entreprises sont en train d'être détruites et des vies humaines sont bouleversées, non pas par le virus, mais par la panique.
La panique doit cesser. Et la presse, ils devront être tenu responsables parce qu'ils affectent et blessent des gens.»
- Dr Drew Pinsky [11]
Pourquoi il ne faut pas craindre le coronavirus plus que la grippe saisonnière ?
Visiblement, la peur et l'hystérie collective ont remplacé le bon sens et la raison. La réaction sociale exacerbée est en train de mettre les économies occidentales à terre, de détruire des années sinon des décennies de développement social, commercial et industriel. Elle risque d'affecter de même la qualité de vie moyenne de la population et son potentiel de survie. Et toute cette panique engendrée dépassant de loin toute rationalité, est devenue une justification universelle et politique de contrôle et de suppression des libertés individuelles, et cela, au profit probable d'une industrie pharmaceutique peu scrupuleuse et de projets politiques douteux.
Mais regardons les faits et les données réelles sur le coronavirus:
- Taux de décès inférieur à 1% (sans compter les nombreux biais et faux rapports, comme on va le voir plus bas).
- Dépistage déficient: on manque de tests (on ne fait pas de dépistage systématique, ce qui veut dire que l'on ne sait pas combien de cas réels il y a. S'il y a beaucoup de cas non diagnostiqués et asymptômatiques, cela signifie que le taux de mortalité est encore plus faible.)
- Nombre de décès rapportés comme étant dûs au coronavirus sont arbitraires et ne peuvent être prouvés. Il s'est avéré que 99% des décès attribués au coronavirus étaient des cas de malades sérieusement atteints par une ou plusieurs autres pathologies graves, notamment, des pneumonies, des cancers en phase terminale, des diabètes et des maladies cardiaques. Il est pratiquement impossibe de dire si la personne serait encore en vie ou si ce n'est pas une autre pathologie qui serait responsable du décès.
- Symptômes du covid-19 TRÈS SIMILAIRES à ceux d'autres pathologies (comme la pneumonie). En l'absence de tests valides, il est impossible de dire précisément si c'est réellement le COVID-19 qui a causé le décès.
Voici ce qu'en disent certains chercheurs:
"Le taux de mortalité du COVID-19 est inférieur à 1%, comme l'a confirmé l'institut national des allergies et des maladies infectieuses." (voir fig. 1)
- Guilio Tarro, MD, PhD, Président du Commité sur les Biotechnologies de la Biosphère de l'Académie Mondiale des Technologies Biomédicales.[14]
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"Les données recueillies à ce jour sur le nombre de personnes infectées et l'évolution de l'épidémie ne sont absoument pas fiables. Compte tenu des tests limités à ce jour, certains décès et probablement la grande majorité des infections dues au SRAS-Co-V-2 (autre nom donnée au Covid-19) sont manqués. [...] Trois mois après l'apparition de l'épidémie, la plupart des pays, y compris les États-Unis, n'ont pas la capacité de tester un grand nombre de personnes et aucun pays ne dispose de données fiables sur la prévalence du virus dans un échantillon représentatif de la population générale."
- John P.A Ioannidis, MD, Directeur du Stanford Prevention Research Center [8]
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"On est passé d'une exagération à une déconnexion. Il y a dans le monde 2,6 millions de morts d'infections respiratoires par an, vous imaginez que les 5000 [morts du coronavirus], 10 000 ou même les 100 000 vont changer les statistiques ?"
- Didier Raoult, Infectiologue, professeur de microbiologie, spécialistes des virus et des maladies infectieuses, directeur de l'IHU de Marseille.[16]
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"85% de toutes les infections se sont produites sans que personne ne s'en aperçoive. 90% des patients décédés ont de façon vérifiable plus de 70 ans, 50% plus 80 ans. L'infection est bénigne pour les jeunes."
- Piero Vernazza, Infectiologue [4]
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"Apparemment, il semble bien que les virologues ont créé quelque chose de très sensationnel ici, et avec leur création, ils ont également impressionné le gouvernement chinois. Le gouvernement chinois en a fait quelque chose de très gros, tout à coup, c'est devenu très important politiquement - dépassant complètement le cadre virologique."
- Dr Wolgang Wodard, Pneumoloque, épidémiologiste Allemagne [2]
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"Dans chaque pays, plus de personnes meurent de la grippe régulière que du coronavirus."
- Dr Yoram Lass, MD [9]
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"[La recherche est] très biaisée. […] Les chances de mourir […] se situent à environ 0,45% - très loin du chiffre de [mortalité mondiale] de 3,4% de l'Organisation Mondiale de la Santé.
[…] Nous ne pourrons pas nous isoler complètement ou pour toujours. À un moment donné, nous devrons reprendre une routine régulière, puis le R0 se stabilisera à nouveau à 2. En fait, nous retardons l'inévitable. »
- Dr Dan Yamin, PhD, modélisateur de maladies infectieuses et ancien membre du corps professoral, Centre de modélisation et d'analyse des maladies infectieuses, Université de Yale
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"Le nombre de personnes qui sont malades du virus en Corée du Sud est au moins le double de ce qui est rapporté, alors la chance de mourir est au moins 2 fois plus faible, se situant autour de 0,45% - très loin du 3.4% annoncé par l'OMS globalement. Cela est une raison d'être méfiant [des chiffres] et optimiste."
- Dr Dan Yamin, PhD, épidémiologiste, Centre de prévention et d'analyse des maladies infectieuses de l'Université Yale [1]
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"Je travaille dans ce domaine depuis 30 ans. […] J'ai traversé le MERS, le SRAS, Ebola, la première guerre du Golfe et la seconde, et je ne me souviens de rien de tel. Il y a une panique inutile et exagérée. Nous devons calmer les gens.
[…] Tout le monde fait paniquer tout le monde - les dirigeants, via les médias et le grand public - qui à leur tour commencent à stresser les dirigeants. Nous sommes entrés dans une sorte de cercle vicieux. "
- Prof. Jihad Bishara, éminent virologue israélien et directeur de l'unité des maladies infectieuses de l'hôpital Beilinson de Petah Tikva [18]
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"Il y a beaucoup de panique injustifiée en Israël. Je ne crois pas aux chiffres ici, tout est politique, pas mathématique. […]
Pour mettre les choses en proportion, le nombre de décès de coronavirus en Italie est de 10% du nombre de décès de grippe dans le pays entre 2016-2017.
Ce dont nous avons besoin, c'est de contrôler la panique. Dans le grand schéma, nous allons bien. "
- Dr Michael Levitt, professeur de biochimie à l'Université de Stanford et lauréat du prix Nobel de chimie 2013 [19]
"Et si les chinois n'avaient pas testé leurs patients pour le coronavirus ou s'ils avaient eu aucun test? Aurions-nous continué notre vie, sans restrictions, sans nous soucier des morts ici et là parmi les personnes âgées, que nous voyons chaque hiver ? Je le pense.[...]
L'OMS estime qu'une saison grippale tue environ 500 000 personnes, soit environ 50 fois plus que celles qui sont décédées jusqu'à présent pendant plus de 3 mois de l'épidémie de coronavirus."
- Dr Peter C. Goetzsche, spécialiste des maladies infectieuses [6]
"Dans chaque pays, plus de personnes meurent de la grippe régulière que du coronavirus." - Dr Yoram Lass, MD [9]
Confinement et destruction de l'économie: Est-ce justifiable ?
Selon plusieurs chercheurs, il ne fait aucun doute que les mesures extrêmes entreprises par les gouvernements vont être désastreuses. Il apparaît indubitable que ces restrictions sévères sur les libertés individuelles ainsi que sur le fonctionnement du système économique va laisser des séquelles importantes, voire durables. Les conséquences économiques vont se faire sentir au niveau des petites et moyennes entreprises dont beaucoup vont fermer leur porte définitivement. Des retards dans les paiements de certaines vont entrainer une multiplication de faillites et de découragements et la mise à pied d'un nombre incalculable de travailleurs salariés. Déjà, plusieurs de ces scientifiques annoncent que les maladies psychiatriques vont se multiplier de même que les suicides.
"Considérez l'effet de la fermeture indéfinie des bureaux, des écoles, des systèmes de transport, des restaurants, des hôtels, des magasins, des théâtres, des salles de concert, des événements sportifs et d'autres lieux, et de laisser tous les travailleurs au chômage et sur la liste publique. Le résultat probable ne serait pas seulement une dépression, mais une rupture économique complète, avec d'innombrables emplois perdus de façon permanente, bien avant qu'un vaccin ne soit prêt ou que l'immunité naturelle ne s'installe."
- Pr. Michael T. Osterholm, Directeur du Centre de Recherche et de Politique sur les Maladies Infectieuses de l'Université du Minnesota.[7]
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"Confiner chez eux des gens qui ne sont pas porteurs du virus est infectiologiquement absurde. Le seul effet d'une telle mesure est de détruire l'économie et la vie sociale."
- Pr. Didier Raoult, infectiologue et spécialiste des maladies infectieuses.[1]
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"Je suis profondément préoccupé par le fait que les conséquences sociales, économiques et de santé publique de cet effondrement presque total de la vie normale - écoles et commerces fermés, rassemblements interdits - seront durables et calamiteuses, peut-être plus graves que le bilan direct du virus lui-même. La bourse va rebondir dans le temps, mais de nombreuses entreprises ne le feront jamais. Le chômage, l'appauvrissement et le désespoir qui en résulteront seront des fléaux de santé publique de premier ordre."
- Dr David Katz, MD, directeur fondateur du Centre de Recherche et de Prévention de l'Université Yale.[5]
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"Je n'ai jamais vue quelque chose comme ça, rien de comparable jamais même qui s'en approche. Je ne parle pas de la pandémie, parce que j'en ai vu 30 de celles-ci, en fait, une chaque année. Et cela est appelé "influenza". Et les autres virus qui donnent des affections respiratoires, on ne sait pas toujours ce qu'il y a dedans. Mias je n'ai jamais vu une telle réaction et j'essaie de comprendre pourquoi."
- Dr. Joel Kettner, MD, professeur de sciences de la santé communautaire et de chirurgie à l'Université du Manitoba, ancien administrateur en chef de la santé publique de la province du Manitoba et directeur médical du Centre international des maladies infectieuses.[12]
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"Je trouve que la nécessité de mesures aussi draconiennes pour signaler à la population que les contacts sociaux doivent être restreints est une indication effrayante du caractère déraisonnable de notre société."
- Pr. Frank Ulrich Montgomery, MD, radiologiste [3]
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"Les mesures anti-COVID-19 du gouvernement sont grotesques, absurdes et très dangereuses [...] L'espérance de vie de millions de personnes est raccourcie. L'impact horrible sur l'économie mondiale menace l'existence d'innombrables personnes. Les conséquences sur les soins médicaux sont profondes. Déjà, les services aux patients dans le besoin sont réduits, les opérations annulées, les cliniques vides, le personnel hospitalier diminue. Tout cela aura un impact profond sur toute notre société.
Toutes ces mesures conduisent à l'autodestruction et au suicide collectif basé sur rien d'autre qu'un fantôme."
- Pr. Sucharit Bhakdi, MD, spécialiste en microbiologie [10]
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"Le battage médiatique autour du coronavirus n'est basé sur aucun danger extraordinaire pour la santé publique. Cependant, cela cause des dommages considérables à notre liberté et à nos droits personnels avec des mesures et des restrictions de mise en quarantaine frivoles et injustifiées.
L'évaluation épidémiologique fondée sur des preuves est en train de se noyer dans le courant des semeurs de peur dans les laboratoires, les médias et les ministères."
- Dr Wolgang Wodard, Pneumoloque, épidémiologiste Allemagne [2]
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« Il faut dénoncer l’état d’urgence sanitaire pour ce qu’il est, une loi scélérate »
- Raphaël Kempf, Avocat pénaliste
Pour contenir une épidémie, il faut une immunité collective: Le confinement n'aurait pas l'effet escompté
Comme je l'ai déjà mentionné dans un article précédent, une propagation virale ne cesse pas parce que l'on met fin à un confinement. Le virus ne disparaît pas après le confinement! C'est logique, non? C'est même une loi virologique, ce n'est pas moi qui l'invente. Cela signifie que pratiquement toute la population finit par être infecté par le virus, confinée ou pas, même si la grande majorité ne développeront pas de symptômes.
Le problème avec le confinement c'est qu'il empêche justement les plus forts de développer une immunité naturelle qui pourrait servir de tampon et diminuer la propagation au sein du groupe. Cela s'appelle l'immunité collective, ou immunité de groupe. Plus le nombre de personnes qui ont développé une immunité naturelle est grand et plus rapidement cessera la propagation.
"Nous avons besoin d'une immunité collective et pas de couvre-feu"
- Pr. Karin Moelling, virologue.[13]
Un exemple probant: La Suède n'impose pas le confinement
À la question: "Pourquoi les jardins d'enfants et les écoles primaires restent-ils ouverts en Suède malgré le nombre croissant d'infections ?"
"Le bénéfice épidémioloique des fermetures d'écoles dans les cas de coronavirus est douteux. Ni en Italie ni en Chine, les écoles ne se sont révélées être des points chauds pour la propagation du virus.
Selon des études de l'OMS en Chine, il n'y a PAS eu UN SEUL CAS DOCUMENTÉ dans lequel un adulte a infecté un enfant. Alors, pourquoi garder des dizaines de milliers d'enfants en bonne santé à la maison? D'autant plus que beaucoup de parents qui occupent des emplois importants pour lutter contre les crises ne peuvent plus aller travailler?"
- Dr Anders Tegnell, Agence de santé publique, Suède [1]
Fig. 2. Le Bélarus qui n'a pas confiné sa population, n'a pas fermé ses commerces, ni imposé de distanciation, n'a pas interdit ni arrêté ses évènements sportifs, sociaux et culturelles d'envergure a montré un taux de mortalité 12 fois inférieur à celui du Québec. [20)
"Nous avons besoin d'une immunité collective et pas de couvre-feu"
- Pr. Karin Moelling, virologue.[13]
Des statistiques faussées par des manquements administratifs flagrants
Comme mentionné plus haut, la compilation même des données semble aléatoire et influencée subjectivement. Plusieurs manquements sont à associer à cette orgie de statistiques toutes plus excentriques les unes que les autres. Le premier élément est le manque de tests. Le fait de ne pas avoir suffisamment de tests de dépistage dans la plupart des pays affectés laisse deviner les biais et les interprétations multiples.[1]
Autre incohérence, les rapports de décès produits à la hâte dans cette frénésie organisationnelle peuvent, on le devine, être assez facilement aiguillonés par la vague épidémiologique actuelle pour se rattacher au coronavirus, sans pour autant que la démonstration de cause à effet du décès par Covid-19 ne soit confirmée en laboratoire. Sans un échatillonage suffisant, donc un niveau de dépistage étendu de la contagion, les données statistiques présentent des rapports extrêmes qui semblent beaucoup trop alarmants.
Les statistiques "en direct" fournies par L'OMS et d'autres organismes de santé, montrent des écarts extravagants entre les taux de mortalité des différents pays. Par exemple, le taux de mortalité en Italie serait de 10,8% (ce qui est virtuellement impossible !!) alors que celui de l'Allemagne n'atteindrait que 0,7%. Un écart inadmissible scientifiquement. Cela nous indique instantanément des biais de compilation et/ou d'évaluation. Sinon, comment justifier de tels écarts de proportions dans des populations sensiblement identiques démographiquement ? Scientifiquement, elles ne se justifient pas, surtout lorsque le nombre de cas total est déjà significatif. (voir fig.2)[15]
"Plus dangereux que le virus est la peur et la panique créées par les médias et la "réaction autoritaire" de nombreux gouvernements. [...] la plupart des soi-disant «décès par effet corona» sont en fait morts d'autres causes tout en restant positifs pour le coronavirus."
- Pr. Stefan Hockertz, MD. docteur en immunologie et toxicologie.[17]
Conclusion
" Le coronavirus n'est pas un virus mortel sérieux! L'alarmisme est le problème" - Pr. Karin Moelling, virologue [13]
Devant de telles incongruités, de telles exagérations, il nous faut relativiser la réponse émotionnelle. Il nous faut reprendre le contrôle de nos fonctions cognitives et penser à demander à nos dirigeants de rétablir la productivité et la vie sociale. Il serait temps de rappeler à l'ordre les médias de masse corrompus et alarmistes qui sont responsables en majeure partie de toute cette hystérie qui se révélera beaucoup plus contagieuse et destructrice que ne l'aura été le coronavirus.
Le temps presse, car la persistance dans la disfonction sociale et économique pourrait avoir des conséquences dévastatrices sur la survie des populations, et particulièrement les populations les plus pauvres. Redémarrer l'économie et le travail apparaît comme le baûme revigorant qui pourra possiblement panser les plaies.
"Je trouve que la nécessité de mesures aussi draconiennes pour signaler à la population que les contacts sociaux doivent être restreints est une indication effrayante du caractère déraisonnable de notre société."
- Pr. Frank Ulrich Montgomery, MD, radiologiste [3]
"Le risque est très concentré et il faut relancer au plus vite la vie sociale, culturelle et économique"
- Julien Nida-Rümein, philosophe
« À la fin, qu'est-ce qu'on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu'il y a des virus dehors ? Mais vous êtes fous ! Vous êtes devenus tous cinglés ! » - Pr Didier Raoult
"Ça va vous sembler radical là ce que je vais vous dire, mais il n'y a pas eu de pandémie." - Pr. Denis Rancourt
"Ceux d’entre nous qui travaillons en cancérologie savons que le stress peut significativement détériorer le fonctionnement du système immunitaire.
Donc ce que je peux affirmer à 200 % est que toutes les maladies chroniques seront aggravées par le stress, en particulier les carcinomes : plus de 50 % d’entre eux deviennent plus invasifs.
Donc je dirais que cette épidémie n’est pas tant une épidémie de virus qu’une épidémie de peur et du stress qui affectent la population.
Car les gens en général ne sont pas comme moi et d’autres spécialistes qui savons que le coronovavirus n’est rien de très grave. Les gens en ont peur. »
- Dr Stoian Alexov
« Le COVID-19 n’est une maladie mortelle que dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s’agit d’une infection virale principalement inoffensive. »
- Dr Klaus Püschel
Il est maintenant logique de penser que l'état dans lequel cette société se retrouvera après la crise, dépend directement de la rapidité avec laquelle le peuple se réveillera. Plus ce sera long et plus profond sera l'effondrement.
Références:
1) https://www.youtube.com/watch?v=izzadeWl3b0
2) https://www.youtube.com/watch?v=p_AyuhbnPOI
3) Interview in General Anzeiger, 18th March 2020
4) Interview in St. Galler Tagblatt, 22nd March 2020
5) "Is Our Fight Against Coronavirus Worse Than the Disease?”, New York Times 20th March 2020
6) “Corona: an epidemic of mass panic”, blog post on Deadly Medicines 21st March 2020
7) “Facing covid-19 reality: A national lockdown is no cure”, Washington Post 21st March 2020
8) https://www.statnews.com/2020/03/17/a-fiasco-in-the-making-as-the-coronavirus-pandemic-takes-hold-we-are-making-decisions-without-reliable-data/
9) Interview in Globes, March 22nd 2020
10) https://www.youtube.com/watch?v=JBB9bA-gXL4
11) https://www.youtube.com/watch?time_continue=65&v=39A7Tr-H29E
12) https://www.globalresearch.ca/12-experts-questioning-coronavirus-panic/5707532
13) https://www.youtube.com/watch?v=jpSOVxjWgDs
14) Cybermed News 16 mars 2020
15) https://epidemic-stats.com/
16) https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/03/21/didier-raoult-je-ne-suis-absolument-pas-terrifie/
17) https://www.youtube.com/watch?v=7wfb-B0BWmo
18) https://theemfguy.com/blog/coronavirus/
19) https://www.latimes.com/science/story/2020-03-22/coronavirus-outbreak-nobel-laureate
20) https://www.canada.ca/en/public-health/services/diseases/2019-novel-coronavirus-infection.html
https://epidemic-stats.com/
Autres références:
https://www.neosante.eu/category/newsletter/
https://www.neosante.eu/coronavirus-7-croyances-a-abattre/
https://swprs.org/a-swiss-doctor-on-covid-19/